Andréanne A. Malette

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Type d’audience
Langue Français
Mode d'assistance Événement en présentiel

Après un pèlerinage en Alaska avec l’Album SITKA, Andréanne A. Malette revient avec une nouvelle tournée, un spectacle encré dans l’instant présent qui invite à tendre vers le bonheur. En remplacement du nord et des grands froids, c’est maintenant la lumière qui est au centre de son inspiration, celle qui entre par les grandes fenêtres de sa maison dans la forêt, autant que celle qui traverse le feuillage dense d’une jungle de l’Amérique Centrale. Puisque les dernières années lui ont permis de raviver sa flamme, et puisqu’une chandelle qui en allume une autre ne perd pas de son intensité, Andréanne souhaite offrir au public le récit inspirant d’une trentenaire passionnée par l’humain, ses failles, ses forces, et tout ce qui se trouve au milieu. Toujours accompagnée de ses musiciens qu’elle appelle sa famille, Andréanne signe la mise en scène de ce doux arrêt dans le temps durant lequel la musique n’entre pas par les oreilles, mais bien par le cœur.

C’est sous sa propre étiquette qu’elle lance en novembre 2017 son album éponyme. Ce deuxième disque lui vaut trois nominations à l’ADISQ 2018, dans les catégories interprète féminine de l’année, chanson de l’année pour Fou et album folk.

Critiques de Sitka (3e album): « Elle fait dans une pop folk que je qualifierais de libératrice, enlevante et intelligente. Elle a des thématiques sérieuses tel que la violence conjugale, le deuil, la dépression, mais on ne s’en rend pas compte parce que la musique est tellement belle, les mélodies tellement bien ficelées. On a quelque chose comme une grande artiste. » Évelyne Charest – Ici Première (24 janvier 2021) « Lors de l’écoute de ce troisième album, Andréanne A. Malette défait ses cheveux pour les laisser voler au vent et nous offre un périple dans des chansons pop-folk salvatrices qui donnent ce sentiment de faire le grand saut dans le froid de nos peurs. » Jocelyn Legault ARP médias (28 janvier 2021) « Ne vous laissez pas berner par les premières notes délicates, qui pourraient suggérer l’évocation de la fragilité ou du doute, du premier extrait du nouvel album d’Andréanne A. Malette. Il se dégage d’Alaska l’assurance, que dis-je, la force tranquille d’une artiste arrivée à maturité. De la folk-pop de haut niveau. » Cédric Bélanger – Journal de Montréal (31 janvier 2021)